Plus que jamais, je savais que je devais lutter, d'une manière ou d'une autre, contre toute cette souffrance. Je ne pouvais pas rester seule avec ça dans le cœur. J'espérais. Non. Je savais, je sentais que les Vivantes, que je venais de rencontrer, pensaient comme moi. Elles seules sauraient que j'avais raison de de croire que pour diriger les êtres humains, on devait les aimer, on devait chérir la vie.(P. 149)