"Vous allez voir, les transports collectifs à Madagascar, c'est quelque chose" nous avait-on prévenus. Et pour cause, malgré la diversité des moyens de transport de brousse, taxi-brousse, camion brousse et charette à zébus, il y a trois constantes : être prêt à attendre plusieurs jours que le convoi veuille bien partir, supporter l'état désastreux des routes, le tangage et les chocs associés et, enfin, accepter la promiscuité.