Nationalité : Nouvelle-Zélande
Né(e) le : 06/07/1912
Mort(e) le : 06/02/1989
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Né(e) le : 06/07/1912
Mort(e) le : 06/02/1989
Biographie :
Frank Wilson Kenyon est un romancier néozélandais.
Il a passé son enfance dans le Lancashire, en Angleterre, avant d’immigrer avec sa famille, à l'age de douze ans, en Nouvelle-Zélande où son père tenait une épicerie.
Après avoir quitté l'école, il a travaillé dans un grand magasin avant de déménager à Londres pendant deux ans pour se lancer dans l'écriture et devenir écrivain.
Il a écrit de nombreux romans historiques, en particulier sur des femmes célèbres de l'histoire.
Frank Wilson Kenyon est un romancier néozélandais.
Il a passé son enfance dans le Lancashire, en Angleterre, avant d’immigrer avec sa famille, à l'age de douze ans, en Nouvelle-Zélande où son père tenait une épicerie.
Après avoir quitté l'école, il a travaillé dans un grand magasin avant de déménager à Londres pendant deux ans pour se lancer dans l'écriture et devenir écrivain.
Il a écrit de nombreux romans historiques, en particulier sur des femmes célèbres de l'histoire.
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Citations et extraits (6)
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-- Et cela té fait rire, Napolioné ?
--Pourquoi pas ? cela m'amuse de songer que Joséphine est assez habile pour obtenir de l'argent d'un homme aussi rusé que fouché. Je m'imagine, toutefois, que ces paiements vont cesser, à présent.
Page 350 de l'édition marabout géant .
--Pourquoi pas ? cela m'amuse de songer que Joséphine est assez habile pour obtenir de l'argent d'un homme aussi rusé que fouché. Je m'imagine, toutefois, que ces paiements vont cesser, à présent.
Page 350 de l'édition marabout géant .
N’importe, même si Alexandre était l’homme le plus laid de la terre, Rose trouverait de multiples compensations. Pour commencer, Alexandre était vicomte. Elle serait vicomtesse… Du bout des lèvres, Rose ébaucha, sans le prononcer, ce titre de noblesse. Ensuite, M. de la Pagerie avait assuré qu’Alexandre jouissait d’un revenu de quarante mille livres par an. Quarante mille livres, c’était la fortune !
Ah, si elle pouvait retrouver son cher ruisseau des Trois-Ilets ! Quelle joie ce serait de pouvoir goûter, ne fût-ce qu’un instant, le bienfait de cette liberté insouciante ! Qu’elle était donc malheureuse ! La vie à Paris, cette coupe enivrante qu’elle avait cru pouvoir vider, ne lui avait apporté qu’amères déceptions, les pires qu’elle eût jamais goûtées.
Dites n’importe quoi. La pire platitude vaudrait mieux que ce silence mortel.
...j’étais venue en France dans l’espoir de vivre un roman d’amour ! J’attendais l’amour, et je n’ai trouvé qu’un jeune homme qui semble s’intéresser davantage à mon éducation qu’à me faire la cour.
Je n’ai qu’un désir, c’est celui de vous plaire... Vous devez cependant admettre qu’il est impossible de garantir que deux êtres qui ne se sont jamais rencontrés en arrivent à s’aimer.
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