Les humeurs de sa femme, les conditions objectives d’un mouvement de masse, l’aveuglement du libéralisme… Ces incompréhensions qui l’accablent sans cesse laisse François désemparé, faisant renaître à tout moment la sensation qu’il a éprouvée un jour d’été, enfant, quand une vague l’a renversé et roulé jusqu’à la plage : il est désarticulé, il a peur, il a besoin de respirer mais il garde la mâchoire verrouillée pour ne pas boire la tasse. S’il crie, il crève.