Où es-tu ? Je t’appelle et tu ne me réponds pas. Je tourne la tête à droite. A gauche. Je regarde en haut. En bas. Dans les bosquets, les buissons, les massifs de roses sans rose et d’hortensias sans hortensia. Chaque ombre m’interpelle. Chaque bruissement de feuille. Chaque craquement d’arbre. Je crie. Je cours. Où es-tu ? Tu t’es trop bien cachée. Ta fugue est éternelle.