à l’ouvrage…
à l’ouvrage
Une équations à deux inconnus,
encore.
Ce reflet dirigé
Déflagration intempestive.
Je ne peux pas être présente à mon corps, incapable.
Ouater le temps. Animisme verbeux.
Il faudrait dire tous ces sont il faudrait taire toutes les
occurrences, reste toujours
le quotidien
Ne pas oublier le verbe…
Ne pas oublier le verbe.
Celui qui agit.
Corps en berne –
seule l’idée survie
Cédez le passage au silence
trans-paraître
Trop de choses ...
Trop de choses que la raison ne compte plus,
il faudrait tout récupérer comme un filet que l’on
lancerait au loin.
comme une mouche, apétante, ondulant en leurre.
L’impression peut-être, seulement –
que les élans se trouvent systématiquement
bridés.
Des sédiments, des claques faites de duplicité
on entrevoit la solidarité
– ils se chevauchent –
Dans la salle d’attente…
Dans la salle d’attente,
De la philosophie temporelle
tirée de la pelote depuis le divan.
Négocier le temps avec l’absence.
Aujourd’hui, n’aurais eu qu’à attendre entre
deux rendez-vous que le temps soit venu.
Contenir les entre. Sustenter le vide.
Et ainsi, appliquer la question à cette découpe si recherchée.
Le fragment de vie aux temps partiels.
Aujourd’hui…
Aujourd’hui, rien ne perd, rien ne gagne
Accepter, dévouer, résigner ?
Attraper à la volée ces gorgées que dessine le réel.
Rentrer dans celui-ci de l’intérieur
et oublier ensuite ce qu’il dit