Les coqs chantaient inlassablement le jour nouveau qui se levait dans le village. A l'ouest, le ciel rougeoyait encore. On eût dit qu'il embrasait la terre en une étreinte sauvage et irrésistible. Quelque part dans le lointain, le martèlement d'un pilon nourricier tombait en cadence dans le mortier scandé par la chaleur des mains nourricières.la vie se réveillait dans la confiance neuve du matin.