À Bruxelles, on est déjà au-delà, on est déjà après, à ce stade où "on connaît les choses avant de les vivre" constate un policier. L’émotion et la douleur, évidemment. La surprise, non. Et c’est cette impression d’inéluctable, peut-être bien plus terrible au fond, qui restera ici la marque des attentats.