Marion s'éloigne d'un pas fluide. Jérôme se rapproche des volets mi-clos : dans le maigre espace de jour, il regarde son corps élancé qui traverse la cour, son dos droit tourné vers l'azur comme s'il allait être avalé par la lumière, et ses jambes mécaniquement souples et régulières. Même le bruit de gravier sous ses pas lui semble élégant.