Qu'il se poste dans le jour déclinant face au vieux chêne de la plaine de Viols-le-Fort ou qu'il s'agenouille dans son atelier d'hiver face à une humble boîte en fer, c'est toujours la même quête qui guide Alexandre Hollan : s'arracher aux paresses du regard qui fait croire que l'on connaît quelque chose du visible parce qu'on l'a sous les yeux.