«Au Moyen-Age, l'Islam et le Christianisme se sont heurtés non pas en tant que deux civilisations radicalement différentes, mais en tant que forces aspirant avec autant d'ardeur à l'universalité, à s'imposer jusqu'au raidissement le plus fanatique. De nos jours, ce fanatisme, le plus souvent, a bien diminué ; il s'est transféré vers d'autres oppositions, au fond, également, religieuses» (p 11)