"A Poutine, j'écris. Pourquoi je lui en veux autant? Pourquoi je le déteste autant? Je ne suis pas une adversaire politique, juste une citoyenne. J'en veux à Poutine pour son cynisme, son racisme et ses mensonges (...) Et j'en veux aux chefs d'état étrangers qui se bousculent pour lui apporter leur soutien, se rendant ainsi complices de ses crimes." (p. 80-81)