Les Indiennes, qui étaient en majorité, mouraient, elles, de malnutrition puisqu'elles avaient été élevées dans les forêts, sur le bord des lacs où le poisson faisait partie de leur alimentation quotidienne. Donatienne avait toujours cru que les Sulpiciens s'étaient trompés : ce n'est pas en transformant les noms indiens en Simon ou en Montour que l'on en faisait des Canadiens-français.