Ô patrie de mes glorieux aïeuls, quel malheur d’être portugais, répétait-il souvent. Impossible également d’oublier son cousin Tchoi, soûl, le pantalon déchiré, la chemise blanche couverte de poussière, écrivant après la mort de sa fiancée un message d’amour inconcevable sur un mur de Salamansa, avec des lettres d’un mètre et demi : « Le monde m’a volé la meilleure fiancée qui soit. »