Le temps, il s’en fout de tout ça. Il trotte, il galope, inexorable. Et malheur à celui que ce cheval désarçonne. Je l’accepte. Même la tête sous l’eau je l’accepte. Je vis en apnée depuis trop longtemps. De toute façon, les gens ne meurent plus vraiment, car ils ne vivent plus vraiment !