Nous étions tous deux des gens du bassin minier, avec nos vêtements à l’odeur des corons et nos chaussettes sales de poudre de charbon. Nos parents nous ont élevés dans la douleur du trop peu, sous la grisaille, riches dans leurs cœurs des plus beaux trésors. J’adore ces terres brunes, leurs gens simples et généreux, et je crois que je les aime encore plus maintenant que Suzanne ne dort plus à mes côtés.