Il existait une parade à la gêne, et c'était le look. Le mot avait débarqué pendant la décennie [80's]. Il était gratifiant d'avoir un look. Une chanson le clamait.
'T'as le look, Coco, Coco t'as le look' ♪♫
Moi, c'était un super look qu'il me fallait. Un look outrancier vous projetait par delà beau et laid.
En croisant un individu super looké, le premier réflexe n'était pas de l'évaluer esthétiquement.
(...)
La niche punk était le refuge des éclopés et des gueules cassées.