Ainsi l’État français, qui avait préparé et exécuté la grande rafle du Vél' d'Hiv', refusait d'en assumer la responsabilité. Non seulement le sort des Juifs de France lui était indifférent, mais il était bien décidé à oublier cet épisode qui ne devait surtout pas avoir de répercussions sur les bonnes relations avec l'occupant.