François Cuel

"T'es vraiment nul et vieux" m'a tout de suite attiré par son quatrième de couverture, en effet, ayant un ado du même âge que "Louise" à la maison, je me sentais entièrement concerné.



Dans ce récit sous forme de journal, ou tout du moins comme un recueil des pensées de l'auteur au sujet de la phobie scolaire de sa fille, arrivée par le biais de divers paramètres de la vie quotidienne qui se sont enchaînés avec une facilité que personne ne souhaiterai chez lui mais qui peut arrivé à tout moment, nous découvrons le malaise que peu généré un harcèlement scolaire non traité par le corps enseignant ou du moins par l'éducation nationale et tout ce qui en découle, la bataille qui faut parfois mener pour protéger son enfant.



François Cuel nous livre son ressenti sur les événements que vit sa fille et lui même par la même occasion de manière très simple et douce, avec un peu d'humour mais surtout beaucoup d'amour, de tendresse et de lucidité, tout en reconnaissant ses erreurs et celles de l'entourage, mais aussi en pointant du doigt les dysfonctionnements du système éducatif français.



Vous aimerez ce récit si vous avez des enfants, si vous compter en avoir, ou même si simplement le sujet vous attire car c'est accessible à tout le monde et reflète bien notre société actuelle.
Lien : https://unbouquinsinonrien.b..

Un papa qui raconte les difficultés qu'il rencontre avec sa fille précoce et atteinte de phobie scolaire, l'idée est bonne on dit que d'écrire est un bon remède pour aller mieux. Maintenant, même si c'est très bien raconté, l'auteur s'éloigne un peu parfois du sujet et j'ai eu du mal à le suivre. Néanmoins, j'ai pris plaisir à lire cette histoire qui m'a touchée et que je ne souhait à personne. Merci à Babelio et aux Editions Harper Collins pour m'avoir permis de lire ce livre.

"t'es vraiment nul et vieux" de François Cuel, est un livre sur la phobie scolaire.

L'auteur raconte comment tout à commencé avec sa fille Louise, harcelée pour commencer, et les quelques jours d'absentéisme par trimestre deviennent les quelques jours de présence au collège.

Ce n'est pas un livre qui trouve une solution miracle à la phobie scolaire, c'est le témoignage d'un père impuissant, qui cherche toutes les solutions pour aider sa fille en souffrance.

C'est un livre très bien écrit, qui dit les choses telles qu'elles sont, avec humour souvent, ce père cherche ses responsabilités, sans minimiser ses obligations.

En temps que parent d'ados, on ne peut que se reconnaître, car même si on n'est pas touché par la phobie scolaire, rare sont les familles qui ne connaissent pas des soucis de comportement à un moment ou un autre.

Merci à @harpercollins pour leur confiance.

Merci Babelio pour ce livre recu grace a la Masse Critique.

J'ai lu ce livre mais j'ai malheureusement pas vraiment accroché le théme de base m'interessait beaucoup (harcelement scolaire) mais il n'est finalement pas beaucoup abordé et pas du tout approfondie a mon grand regret.

On parle plutot de l'adolesence dans sa globalité ce qui est dommage, parfois on a l'impression que l'auteur "passe du coq a l'ane" et change de sujet au fil de ses reflexions mais au détriment du sujet du livre.

Je suis assez decue de cette lecture mais c'est un bon livre malgré tout si on est prevenu que le harcelement scolaire n'est pas vraiment le sujet principal mais plutot l'avis d'un pere sur son ressenti au sujet des ados et de sa fille, juste ce n'est pas ce a quoi je m'attendais pour ma part.

En ce mois de rentrée scolaire, je sors ce livre acheté il y a peu, sorte de chronique d'un papa sur la phobie scolaire de sa fille de 14 ans.

La découpe des chapitres et leurs thématiques est intéressante mais j'avoue avoir été un peu déçue d'un point de vue global. J'attendais plus d'explications et de détails sur le harcèlement scolaire qu'a vécu Louise, hors il est très peu évoqué au final.

La majorité du livre retrace la vie de Louise depuis sa naissance et les événements marquants auxquels elle a dû faire face comme la séparation de ses parents. On ressent bien le désarroi de son père et les nombreuses questions qu'ils se sont posées avec la mère de l'adolescente.

Bref un avis assez mitigé.



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"Les mâts pouvaient s'abattre sur le pont, les voiles se déchirer, l'équipage se mutiner, dans sa minuscule cambuse la principale résistait. Nul ne la déstabilisera dans son collège. Avait-elle enquêté, interrogé deux ou trois professeurs, cuisiné les pions? Je ne sais pas. Je croyais rencontrer quelqu'un qui voulait régler un problème. Je découvris quelqu'un qui voulait s'en débarrasser. Comme les parents, le personnel d'un collège rêve d'un long fleuve tranquille avec des élèves moyens, des professeurs moyens, des repas moyens... Un endroit sans désaccords. "

Nous pensons souvent qu'un enfant qui refuse d'aller à l'école fait un caprice et ne veut simplement pas travailler pourtant il arrive parfois que ce refus de scolarité aille au-delà du simple caprice et cache un mal-être plus profond. Certains n'arrivent tous simplement pas à aller à l'école pour diverses raisons.



C'est ce que nous explique l'auteur à travers cet ouvrage, il nous raconte l'histoire de Louise, sa fille, qui connaît bien malgré elle une scolarité difficile.

C'est un témoignage touchant et intéressant sur un sujet dont on entend peu parler et qui est rarement pris au sérieux.



Je vous recommande vraiment cette lecture.

Dans ce livre, François Cuel nous raconte sa fille, Louise, depuis sa naissance jusqu’à cette année de ses quatorze ans. Il revisite avec nous son enfance, et le rapport qu’il a eu avec elle, son ressenti sur la séparation de ses parents, la difficulté à la suivre aussi dans cette garde partagée. Il nous parle de tous ces signes d’une phobie scolaire qui sont apparus progressivement, du harcèlement qu’elle a vécu. Il nous confie en toute transparence à quel point cette situation est confrontante pour les parents, leur maladresse parfois. Il souligne comme il est compliqué de trouver du soutien ou des pistes pour sortir l’enfant de la souffrance. Il nous rappelle l’importance et la complexité de cette transition qu’est l’adolescence



J’ai trouvé, en tant que parent, intéressant ce livre entre témoignage et lettre à sa fille. Il fournit des clés pour déceler cette souffrance. Il montre aussi un père qui en toute humilité, avoue son humanité, ses failles. C’est pour moi si précieux dans l’éducation.

Je pense qu’il peut aussi être un bon support pour les enseignants ou les encadrants. Très instructif!

En lisant le synopsis, je m'attendais à découvrir le harcèlement scolaire vécu par la fille de l'auteur. C'est finalement la lettre d'un père inquiet à sa fille. On n'y apprend pas grand-chose. Ce n'est ni mauvais, ni bon. Je suis resté sur ma faim.

L’auteur de ce témoignage est le père d’une adolescente de 14 ans, Louise, qui ne veut plus aller en cours, souffrance de phobie scolaire et étant victime de harcèlement. Il remonte alors progressivement le temps jusqu’à la naissance de Louise pour essayer d’y voir plus clair sur la situation, sur la vie de sa fille, son rôle de père, la relation avec la mère de Louise, son divorce etc… Ce livre est une immense lettre ouverte d’un père à sa fille, entre confessions et anecdotes amusantes et touchantes, il aborde le thème de l’adolescence, du divorce, des familles recomposés, la scolarité, l’Education Nationale… Un livre qui fera écho au quotidien de nombreux parents alors que le harcèlement scolaire et la phobie qui souvent s’en suit sont enfin médiatisés.


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L’idée de base abordait un thème souvent oublié, ou très peu mis en mot, la phobie scolaire qui m'intrigait. L’adolescence est déjà une période bien compliquée, ajoutez par dessus, un mal qui touche plusieurs élèves, le quotidien s’en trouve un poil plus difficile encore.



Louise a l’âge de mon ainé. 14 ans, elle est déscolarisée depuis des mois. François Cuel pose ses pensées dans un assemblage proche d’un journal intime. Les pensées se dessinent au fil des pages, simples, efficaces. Mais, je ne sais pas pourquoi, j’ai eu le sentiment de rester en surface. La phobie scolaire, le malaise, le harcèlement scolaire sont à peine dévoiler. Ils se posent en filigrane. Comme un ingrédient qui bouleverse l’enfant qui connaît l’âge ingrat avant sa vie d’adulte. C’est particulier. Presque déroutant. Presque dur, car la douleur de Louise s’en retrouve tâchée de nuances qui auraient mérité d’être effacées.



L’adolescence se déploie dans sa globalité. Dans son contexte total pas par petites touches, les chapitres ne prennent pas le temps d’approfondit le mal-être de son héroïne. L’inquiétude face au retrait de la jeune fille se touche du doigt, en demi-teinte. La douleur se ressent. Pourtant, je n’ai pas réussi à m’attacher au père et à sa fille. Des longueurs étouffent le récit.



Couverture de T'es vraiment nul et vieux de François Cuel



La toile de fond du harcèlement, des solutions, de la lumière au bout du tunnel, m’ont poussé à poursuivre ma lecture, malgré les bémols. L’impuissance et la souffrance du parent face à son enfant en détresse marque le coeur. Les mots se fraient un chemin. Les deux parties grandissent dans les épreuves. Mon âme s’est serré. Nous aimerions protéger nos petits. Leur offrir des solutions, les voir voler de leurs propres ailes, l’adolescence est un parcours chaotique, complexe et non sans cailloux sur la route.



En bref, un roman imparfait qui ouvre des portes avec une pincée d’humour pour éviter de sombrer. Parfois, un parent se sent seul face aux enseignants, face au monde avec son enfant différent, particulier. François Cuel le démontre avec une tendresse infinie, lucide. L’éducation en prend pour son grade. Les dysfonctionnement ne s’oublient pas. Le récit aborde la société scolaire avec ses normes, ses cases et son traitement des adolescents sans filtres.


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Louise est une adolescente de 14 ans, comme les autres.

Ou presque.

Déscolarisée depuis plusieurs mois, elle souffre d’un mal malheureusement de plus en plus commun à notre époque : la phobie scolaire.

Qu’est-ce que ce terme qui effraie parents comme enseignants ?

Où trouve t-il son origine ?

La famille autant que l’école est-elle suffisamment armée pour aider l’enfant qui se trouverait en souffrir ?

Et c’est toute la difficulté.

Il existe autant de phobie scolaire qu’il existe d’enfants, d’adolescents, de famille, ou de solutions.

Aucun remède miracle face à cette douleur finalement très personnel.

Le diagnostic est trouvé. Le traitement lui est une longue épopée.

Ce récit est le journal de ces mois d’impuissance et d’inquiétude face à un enfant qui, peu à peu, n’en est plus un.

En dehors du thème de la phobie scolaire, c’est l’adolescence plus largement, et comment cette dernière se traduit dans le quotidien que nous partage François Cuel.

Ne s’épargnant pas lui-même, il tente de comprendre, et écrit toute son impuissance avec une franchise teintée d’humour.

Il n’apporte pas de solution, d’ailleurs lui-même la cherche t-il encore sûrement ?

Il raconte. Simplement, et avec émotion.



À lire et à offrir pour les parents d’adolescents, et de futurs adolescents !
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