Les succès politiques et militaires de Frédéric avaient beau justifier ces procédés, Marie-Thérèse ne se mit jamais à son école. Jusqu’à la fin de sa vie, elle resta fidèle à sa conviction que la raison d’Etat est compatible avec les règles de la morale et l’enseignement de l’Evangile. C’était une femme chrétienne, pieuse et charitable. Mais c’était en même temps une souveraine énergique et perspicace.