...les bonnes paroles, la persuasion étaient inutiles. Mais la sévérité, non plus, ne servait à rien ; si on le réprimandait ou le punissait, une sorte de léthargie s’emparait de lui, son obéissance devenait indolente et machinale et ne portait aucun fruit. Le seul moyen efficace était d’exciter son amour-propre. Un prince héritier, un futur chef d’armée, un futur empereur se devait de savoir certaines choses ! Marie-Thérèse.