Kate n’était pas un cliché, mais une vraie fille en trois dimensions, toutes aussi intéressantes les unes que les autres, d’autant plus que chacune de ces dimensions était entièrement recouverte de taches de rousseur, dont j’ai toujours été un grand amateur. J’essayais parfois de calculer combien elle en avait exactement, mais ces calculs étaient très longs, ce qui ne me dérangeait pas du tout : j’aimais compter sur mes doigts.