Un monde sans fois ni loi ne permet pas la confiance ; un monde sur-réglementé non plus. Les deux se rejoignent : dans le second, l'abondance et la contradiction des règles créent des situations peu près aussi aléatoires que dans le premier qui n'en a pas. Entre les deux se situent les règles du jeu qui vont instituer entre les individus un degré de confiance adapté à ce qu'ils ont à faire ensemble.
Il n'y a qu'un patron : le client. Il peut licensier tout le personnel, depuis le directeur jusqu'à l'employé, tout simplement en allant dépenser son argent ailleurs.