L''auprès, ce qui ne manque ni ne lasse, donc ne s'abîme pas dans la durée. Or cet "auprès" s'analyse : parce que dans l'intime, du Dehors s'y découvre aussi le plus dedans ou, disons, que son immanence s'y trouve toujours habitée de transcendance, de l'intime, quant à lui, ne s'épuise pas. Il est sans fin et sans fond.