On m'avait dit qu'il dormait plus que quelques heures depuis le massacre du 30 juin, qu'il errait la nuit d'une chambre à l'autre, que les somnifères étaient sans effet ou qu'il refusait d'en prendre, par crainte d'être empoisonné. Au petit jour, il tombait comme terrassé sur son lit et s'éveillait bientôt dans une crise de larmes.