La vie est douce aux puissants. Elle est dure aux humbles. Les campagnes sont écrasées par l’impôt. Nombre de leurs habitants les fuient pour aller grossir les rangs des miséreux qui s’entassent dans les faubourgs des villes où ils souffrent en silence ou, de temps à autre, laissent exploser leur colère. La capitale est alors saisie de turbulences qui la font craindre par les souverains eux-mêmes.