Aujourd'hui, le Grand-Guignol occupe dans les esprits une situation d'admiration ou de rejet- et même parfois paradoxalement, d'admiration ET de rejet.
Si l'adjectif "grand-guignolesque" n'est pas considéré comme particulièrement positif et si son pathétisme nous dérange, d'autre part, qu'on le veuille ou non, la littérature et le théâtre d'horreur, ainsi que leur produit, le cinéma d'épouvante, restent indissociables de notre patrimoine.
Leurs amateurs, leurs amis sont légion, sans compter que le snobisme s'en mêle aussi, sans trop savoir parfois quel parti prendre.
"Le grand-guignol, entre le savoir faire et la naïveté" Gabrielle Wittkop.