Moi aussi, j'ai continué à lire comme on s'appuie sur une béquille, pour ne pas trop s'avachir. Jamais autant qu'au CFJ je n'ai éprouvé la lecture comme acte de résistance. Sans risques physiques, certes. Mais comme un patient refus face à une école qui programme votre asphyxie cérébrale. Ce qui me vaudra cette sentence : " Avec toi, on a tout de suite vu que quelque chose n'allait pas. Tu apportais toujours un bouquin aux réunions."