Personne d’autre que le citoyen libre n’a qualité pour juger de l’emploi qu’il fait de sa liberté, sauf à voir celle-ci disparaître.
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On ne rappelle pas assez que la souveraineté, nationale ou populaire, ne vaut que parce que le peuple se prononçant est censé être composé de citoyens libres, la liberté venant ici se substituer comme principe à l’onction divine des rois.