Le feu de bois crépite dans la cheminée. […] Mes yeux s’y perdent. Et quand ils s’y perdent, je sais que je vais les voir. À travers les flammes qui serpentent au ralenti, dans cette lumière dansante, mon monde scintille. C’est là que je retrouve mes amis. J’en ai plein. Ils portent des chapeaux pointus couleur cerise et de longues barbes frisottantes. Ils sont vieux. Ils veulent que je les appelle Nutons. Ou Moutons ? Je ne sais plus… Cela n’a pas d’importance.