les enfants de jean et Josette Bruce reprennent les aventures de o s s 117
et lui font intégré un nouveau service, et a un nouveau patron.il travaille pour le national security
council,l, organe directeur
de tous les s r américains
civils et militaires dirigé par le général virgil Stanford.
l, histoire aurait pu être plaisante de faire passer
Hubert pour un moine dans un monastère pas très catholique.
mais n'est pas jean Bruce qui veut, Josette dans ses livres avait gardée tout ceux qui faisait le charme du héros son humour et son amour des femmes.
choses qu'on retrouve plus ici.bon c'est peux être pas le meilleur de ses nouvelles aventures.
donc je vais en lire d, autres et si c'est aussi plat
je laisse tomber.
c'est gentil sans plus
3 étoiles ✨
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Plutôt une agréable surprise: ça faisait au moins 30 ans que je n'avais pas ouvert un OSS 117 et je ne savais plus la saveur d'un tel livre. En fait on est en terrain connu, les bons espions contre les méchants à travers le monde, mais ici sans le sadisme et l'érotisme extrême de son confrère SAS. L'histoire se passe dans les contrées kurdes il y a quelques décennies, et on se rend compte que le monde n'a pas trop changé hélas. Le livre est court, se lit facilement, ne tombe pas des mains: un bon divertissement.
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Un OSS 117 assez terne, rien de très intéressant dans cette histoire qui se laisse lire mais n'apporte rien de particulier.
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J'ai lu OSS 117 : Toccata à Tokyo, de Jean Bruce. Je connaissais les films, mais pas les livres. J'ai eu l'occasion d'en lire, alors je l'ai fait. Verdict ?
L'intrigue est légère et repose sur un tissu de mouchoir. Hubert Bonnisseur de la Bath travaille pour les Américains et part au Japon afin de mettre un terme aux agissements du chef d'un gang japonais qui s'étend jusqu'en Californie : les yakuzas. Bon, en soi, la légèreté de l'intrigue ne m'a pas dérangé. Vu l'épaisseur du bouquin, je comptais justement sur une lecture rapide, légère, pas prise de tête et sympa entre deux romans plus importants. Et pour ça, ce livre a rempli son rôle.
Le développement est assez rapide, il y a peu de péripéties, même si l'ensemble reste cohérent et qu'on a juste le temps de découvrir les principaux personnages. Cela dit, cela va vite quand même. Cependant, l'écriture reste agréable, les dialogues sont bons, la pointe d'humour d'OSS 117 et son subtil degré de machisme passent bien. Du coup, comme j'ai vu les films, je trouve que Jean Dujardin collait bien physiquement au personnage, mais qu'ils ont pris la liberté de caricaturer énormément cet espion qui est quand même beaucoup moins débile, naïf et maladroit chanceux que dans les films.
J'ai lu le livre en 2-3 heures, moins de 200 pages, police très grosse, les chapitres s'enchaînent vite. C'est vraiment une lecture détente, il ne faut pas s'attendre à de la grande littérature ou à une intrigue fouillée avec moultes péripéties et rebondissements.
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Ce titre est de François et Martine Bruce
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