La maladie d’Antonia avait jeté une ombre sur leur famille.
« Peut-être bien que nous n’avons pas de chance », avait marmonné son père, un soir, en passant la main sur sa mâchoire. Il s’était aussitôt repris : « Ne nous plaignons pas. Nous avons la Grange et du travail plus qu’il n’en faut ».