Ainsi, grâce à de nombreuses complicités grassement rémunérées, les galériens protestants entretenaient une correspondance suivie avec la Suisse, l'Allemagne, l'Angleterre et les Pays-Bas, comme avec les protestants de France. Ceux-ci leur envoyaient des lettres d'encouragement, des subsides, fruits de quêtes et de collectes, et surtout des livres.