Françoise Favretto

Basque, ancien professeur de philosophie, Jean Esponde fait régulièrement des lectures publiques avec les éditions atelier de l’agneau.

Il a écrit une vingtaine de romans et recueils de poésie.

Je découvre cet auteur et cette maison d’édition grâce à une Masse Critique de Babelio.



J’ai bien aimé ce recueil de poésies dont le fil conducteur est l’inspiration d’écriture. Les sources d’inspiration sont variées (rêves, voyages, rencontres…), le texte agréable à lire.

J’ai bien aimé l’atmosphère qui se dégage de ce recueil, beaucoup de mouvement, de couleurs et de sensibilité. Il a vécu au Maroc, est-ce pour cette raison que la couleur est omniprésente dans ce récit ?

J’ai bien aimé également son évocation de Rimbaud, qui semble lui être cher.

J’ai passé un bon moment de lecture, Merci Babelio pour cette jolie découverte !

La plupart de ces petites histoires (si on peut les appeler ainsi) m'ont laissée sur ma faim. Peut-être est-ce moi qui n'ai pas su en comprendre le sens, mais j'avais l'impression de lire des extraits d'une oeuvre plus longue, voire un texte écrit d'une traite sur le coin d'une table, sans ligne directrice, sans but. Bref, je n'ai pas accroché, J'en suis la première désappointée puisque j'ai tout de même reconnu un style certain qui me donne envie de lire un roman de cet auteure...

J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une masse critique. Je n'avais pas lu de poésie depuis l'école et j'ai été agréablement surprise. Je ne pensais pas apprécier ce genre littéraire mais les thèmes abordés m'ont touchés...

Sûrement que mes goûts ont évolués et que certains genres me plaisent d'avantage.

En bref, une très belle découverte vers laquelle je ne me serais pas tournée en dehors de cette masse critique. Merci a Babelio !

Une jolie compilation de textes qui parle du quotidien en toute simplicité et s’attarde sur des objets qui se fondent dans le décor de nos vies. L’auteure nous propose alors de jeter un regard différent à ce qui nous entoure et de voir par exemple le gardien d’une exposition ou encore un rondpoint d’un autre œil. Avec un peu de folie et beaucoup de fantaisie, l’auteure nous offre une autre vision de notre monde. Un bon moment de lecture que je n’aurai pu réaliser sans l’opération Masse Critique de Babelio. De jolis textes publiés par une petite maison d’édition qui valent le coup d’être découverts.

Tout d'abord, merci à l'opération "Masse critique" qui m'a permis la rencontre avec ce livre et l'univers de son auteure, Françoise FAVRETTO. Soyons honnête quand on participe à ce genre d'événement, c'est un peu quitte ou double ou mieux pochette-surprise. On dispose certes d'un résumé de l'ouvrage, de la reproduction d'une première de couverture et ensuite, on part à l'aventure. Pas de livre en main, pas d'ami pour dire "Lis ça, j'ai adoré", pas de format, pas d'odeur, pas d'auteur dans un salon du livre, qui vous parle presque intimidé ou carrément avec verve de son ouvrage, etc. On est donc un petit aventurier ! Tout petit ! Comme dans ces 12 textes qui plongent dans l'aventure du quotidien, tout en poésie, sans fioritures. Ces récits sont loin d'être des haïkus mais ils parviennent à nous donner des instantanés (de quelques jours, je le concède) de la vie, qui pourrait être celle de tout un chacun : celle d'un vigile d'un jour dans une exposition culturelle en peine de visiteurs, celle d'une professeure de latin bananophile et celle aussi d'une prof qui regrette les mots qu'elle n'a pas trouvés, celle d'une petite fille se maquillant dans la salle de bain de sa tante et celles de parents fugueurs, celle d'un rond-point, qui normalement devrait être si simple à traverser ou encore celle d'une innocente en quête d'alibi qui finirait bien par être coupable et celle d'une jeune afghane, de Michel et des autres, tous les autres.

Quand j'ai ouvert le livre et lu les premières lignes, j'ai eu une sensation de nouveauté littéraire. Je m'explique : ces textes ne sont pas des nouvelles, ce ne sont pas des contes, encore moins de la poésie en prose et pourtant au fil des événements qui se déroulaient sous mes yeux, j'ai découvert de beaux portraits, des faits divers sublimés par un art du conte, avec en sourdine des questions sur nous, la vie, notre monde. L'auteure se les posent-elles à elle-même ?

Je retournerai comme je le fais régulièrement fureter dans ma bibliothèque pour RElire des histoires et des extraits et je sais déjà que je reviendrai assez vite au hasard d'un vagabondage dans l'Arrachoir 2.

Une très belle surprise donc !

Il manque un petit quelque chose à L'Arrachoir. Ce sont, en effet, de courtes proses : ébauches d'histoires, d'ambiances, de questionnements, de confidences... Les personnages virevoltent à travers une écriture impeccable, mais lisse. Personnellement, j'ai eu l'impression de lire une succession de petits monologues, qui m'ont laissée finalement plutôt indifférente.

J'ai trouvé ce livre très intéressant même si, habituellement, je ne suis pas vraiment fan des nouvelles. Il est très facile de se mettre de se mettre dans la peau du personnage centrale et j'adore ça. J'aime aussi ce que l'on découvre dans ce livre et cela nous pousse à réfléchir sur certaines choses.

Par contre, la couverture est trop simple à mon goût.