«Si tu portes mon nom, tu hériteras d’un fardeau de larmes, la fin d’un certain bonheur, d’une certaine insouciance, d’une joie de vivre (…) c’est pourquoi il y a vingt ans, je n’ai pas voulu de toi. Je n’ai pas voulu mettre un enfant juif au monde », hurle Sarah, la vraie mère, à Denis