Non seulement elle sera toujours sa première lectrice mais elle est seule capable de déchiffrer son écriture, un allemand gothique impénétrable. C'est elle qui recopie, et qui recopiera toujours, page à page tous ses manuscrits avant qu'ils ne partent à la composition.
Ainsi est-elle sans doute, avec Engels, la seule à avoir lu Marx de bout en bout, des milliers et des milliers de pages. (p.54)