Je suis prisonnière des vieilles maisons, des forêts, de la nuit, des eaux dormantes, des nouveaux-nés au fond de leurs berceaux. D’eux surtout. J’userai ma vie, penchée au-dessus des berceaux. Je perdrais mes yeux à trop regarder mon nouveau-né dormant dans son odeur légère d’étable et de lait.