La mère pleurniche un brin au moment du départ sur le sacrifice de la séparation, mais très vite ma-fille-de-Nantes devient un petit effet qu'on place facilement dans les conversations pour clouer le bec de celles qui n'ont jamais fait que trois fois le tour de leur soue à cochons et qui gardent leurs filles dans leurs jupes pour gaver les cochons après elles.