Je le tenais par la nuque, je lui caressai les cheveux, je lui embrassai les temps, j'étais désolée comme devant un chagrin d'enfant. Car c'était un enfant qui sanglotait contre moi, un enfant sonné par la vie. Je murmurais des mots vagues dans le genre: "Allons, voyons, calmez-vous, ce n'est rien".