— On est au début d’un cycle de violence. Plus de boulot. La dignité et les valeurs morales ont été bradées. (...) Trop de libertés, d’addictions, de peur. Ces choses nous éloignent de la vérité.
— Quelle vérité ?
— Tout se casse la gueule. Ce que les gens de notre espèce ont bâti à la sueur de leur front est démantelé. Les criminels règnent. Ils sont au gouvernement, partout. Seuls les gangsters s’en tirent. Nous sommes fauchés, sans emploi, sans pouvoir. On ne nous laisse rien excepté la méchanceté et la complaisance. Voilà comment ils nous contrôlent.