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Critiques de Frank Reichert (10)
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Aliens : L'Intrus, tome 1

Second comics que je découvre sur le thème des « Aliens » et seconde grosse déception.

Déjà le dessin est... moche, illisible, trop sombre... et puis l’histoire : un alien cybernétique est construit pour infiltrer un nid Alien pour récupérer la gelée royale de Reine, produit possédant des vertus insoupçonnées. Autant dire que l’histoire est complètement loufoque pour avoir un récit intéressant, en tout cas c’est trop mal amené.

Enfin le récit est plutôt incompréhensible (les dessins et la colorisation n’aide pas comme je l’ai déjà dit) et on se perd dans le déroulement de l’intrigue.

Je ne désespère pas de retrouver la qualité des films dans un Comics, cela me parait quand même pas impossible d’obtenir une belle histoire en BD de cette créature emblématique du cinéma !
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La croisée

Bande dessinée à ne pas mettre entre toutes les mains.

La " Gamine " ou Madame Drouet est une veille dame qui ne veut pas quitter la librairie que son père avait exploitée autrefois, ni son petit appartement attenant.

Son propriétaire, les promoteurs et les démolisseurs finissent par la chasser en lui construisant à l'identique (comme elle l'avait exigé) une maison en pleine campagne, loin de tout. Mais la veille femme n'a plus le gout de vivre.

Un beau matin son ex-propriétaire en sortant de chez lui la trouve pendue sur le palier.

C'est le début , 25 ans après, dans les grands ensembles qui furent construits sur les ruines de la librairie, d'une vague de folie qui déferle sur la cité entrainant des accidents, des crimes violents et crapuleux.

Le fantôme de la veille dame prend sa revanche...

J'aime particulièrement le dessin d'Edmond Baudoin (illustrateur des chants de Maldoror), sans couleur, aux traits épais, qui colle parfaitement à l'ambiance noire du scénario de Frank.
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Le dieu de la guerre, tome 2 : Champions de..

Second tome des aventures de Bazhell Bahnakson après Le serment de l'épée, Tome 1 :.



Petit rappel du background :

Dans une civilisation moyenâgeuse cohabitent plusieurs races d'hommes : les Hommes, les Nains, les Elfes et Mi-elfes (absents de ce tome), gnomes et les Hadranis mesurant environ 2.5m, oreilles de renard et possédant la rage (résultant d'un ensorcellement qui a fait d'eux à l'époque les troupes de chocs des forces du mal) : une fureur meurtrière extrêmement puissante.

Sur tout cela se greffent des dieux (qui interviennent parfois dans les affaires des hommes), dieux de la lumière dont le plus puissant est Tomanak (dieux de la guerre) et dieux des ténèbres, et bien sur un puissant sorcier blanc.



Dans le serment de l'épée, Bazhell, Hadrani des voleurs de chevaux, est contraint de fuir, en compagnie de son fidèle ami Brandark, après avoir sauvé une femme Hadrani des griffes d'un prince malveillant au service des dieux des ténèbres. Chemin faisant, il va devenir le champion de Tomanak, tuer le prince Harnak, fils du roi des épées sanglantes (les deux tribus étant en froid (doux euphémisme)), sauver une autre femme destinée à devenir une puissante magicienne, échapper à la guilde des assassins dépêchés à sa poursuite et terrasser un démon envoyé par les forces des ténèbres.

A la fin du premier roman, il embarque sur un bateau dirigé par des gnomes pour rejoindre le royaume de son père.



Ce second roman raconte son voyage mouvementé, sa prise de contact avec l'ordre de Tomanak (des chevaliers ayant prêté serment à l'épée de Tomanak, défenseurs des faibles et de la justice) et le conflit qui va se dérouler entre les voleurs de chevaux et les épées sanglantes sous le regard (??) des Sothoïs, race d'homme frontalière des Hadranis avec lesquels, les rapports sont pour le moins mouvementés.



Nous avons d'abord un premier tome (ou une première partie puisque la séparation en deux tomes est du fait de l'atalante, en vo, le roman est unique) assez lent et un peu trop bavard, centré sur le voyage de Bazhell mais qui permet de se remettre doucement dans le bain et retrouver les différents protagonistes de l'histoire.

Le second tome (seconde partie) est centré sur les différents conflits impliquant les voleurs de chevaux. Il est beaucoup plus nerveux, plus rythmé, plus... tout.



Quelques très belles scènes d'action et de combat. Toujours beaucoup de politique (assez habituel chez Weber). Un ton décontracté et emprunt d'humour. Bref un livre assez divertissant.
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Le dieu de la guerre, tome 2 : Champions de..

Une suite directe du tome précédent, rien d'étonnant puisqu'il s'agit ici de la fin du Tome deux original scindé artificiellement en deux parties par l'éditeur.

Dans la première partie nos héros ont traversé les territoires civilisés et amis, mais lorsqu'ils quittent le territoire des nains c'est pour traverser des terres potentiellement hostiles, cependant chaussés de leurs skis seules les courbatures se signaleront à eux et Bahzell est accueilli par sa famille dont chaque membre tient son rôle, une petite mise à jour de la situation politique et tout est en place pour l'action …





La routine, le temps de créer une antenne de la confrérie de Tomanãk, et on part en expédition pour détruire un repaire de disciples de Sharnã le dieu des Ténèbres, une occasion de détruire un démon horrifique, de collecter une tête couronnée et de ramener quelques prisonniers qui serviront les manoeuvres politiques machiavéliques de Bahnak le père de Bahzell Bahnakson et monarque des voleur de Chevaux. Tout le monde est satisfait, même Tomanãk qui apparait pour officialiser le nouveau chapitre de ses chevaliers Hradani et d'adouber Vaijon comme son Champion. Tout roule et Bahnak lance ses armées à l'assaut du territoire des Épées Sanglantes afin d'enfin réunir les Hradanis septentrionaux sous la même bannière.

Tout irait pour le mieux si un nobliau Sothoïs ne trouvait pas le moment idéal pour attaquer les Voleur de Chevaux sur leurs arrières, espérant de ce fait mettre son peuple devant le fait accompli en l'obligeant à entrer en guerre afin d'annihiler les ennemis avec qui ils sont en conflit depuis douze siècles. C'était sans compter avec Bahzell et sa confrérie qui se ruent afin de bloquer la passe et d'arrêter les armée adverses au nom de la justice de Tomanãk.

Tout est prêt pour enchaîner sur un nouveau tome qui offrira l'occasion de découvrir un nouveau territoire et de faire connaissance avec les Sothoïs …





Livre, Tome, on s'y perd, l'éditeur, non content de prendre le client pour une vache à lait, introduit le doute sur l'ordre, et propose des "brochés" au prix excessif à un format "grand poche". J'en viens à regreffer d'avoir encouragé indirectement la démarche commerciale, même si j'ai favorisé les livres de cette série en occasion. Les éditions anglaises sont facturées à une petite fraction de l'édition française avec des couvertures d'avantage dans le style du livre …





Finalement nous avons en main de la fantasy assez convenue, délivrée dans une écriture fluide et d'un abord facile et qui nous restitue l'action avec humour. Les personnages sont hauts en couleurs et animent joliment le récit où l'aventure se mêle à la politique pour nous procurer un agréable délassement …
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Le dieu de la guerre, tome 2 : Champions de..

Salut les Babelionautes

Quand on aime on ne compte pas!! Et moi j'aime la prose de David Weber dont je possède tous ses romans traduit.

Donc dans la première partie je me suis peler les fesses en lisant le périple que Kaeritha, Vaijon, Brandark et Bahzel ont fait pour retourner avertir le peuple Hradani de la présence des Dieux des ténèbres dans leur Royaume.

Dans la deuxième partie, ils sont enfin arrivés auprès du prince Bahnak, qui est avant tout le père de Bahzel.

A partir de ce moment ce n'est que de la politique, pourtant il y aura un peu d'action quand ils découvriront ou se cache les adorateurs des Dieux des ténèbres.

Le conflit qui menace entre les voleurs de chevaux et les épées sanglantes, va donner des idées aux Sothoïs, le Royaume frontalier du territoire des Hadranis. Mais encore une fois Bahzel, aidé en cela par le chapitre de l'Ordre dont il est un Champion, va s'interposer pour éviter des massacres inutiles.

La traduction est l'oeuvre de Frank Reichert, qui c'est chargé des huit tomes en version Française, et sans son admirable travail je n'aurais jamais pus lire cette Saga.
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Le dieu de la guerre, tome 3 : Cavaliers du..

Bahzell continue son petit bonhomme de chemin, un chemin entrecoupé de révélations qui n’en sont pas, d’apparitions et de disparitions de personnages dont le lecteur n’a que faire et de rebondissements aussi inconsistants que le nombre de coups d’épée.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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Le dieu de la guerre, tome 3 : Cavaliers du..

Dans le tome précédent nous avons laissé nos héros en train de négocier la paix avec le Baron Tellian qui s'est rendu à Bahzell et la confrérie de Tomanãk, malgré la disproportion des forces en faveur des Sothõï. La gestion du chapitre de l'ordre de Tomanãk à Hurgrum est confiée à Vaijon qui se demande s'il saura faire le poids face aux membres Hradani et comment Bahnak Karathson, le monarque des maintenant réunis Hradanis septentrionaux, va réagir en apprenant que son fils est parti pour une ambassade inofficielle dans le royaume Sothõï, leur ennemi immémorial.

Kaeritha Seldandottir, Bahzell et Brandark Brandarkson se retrouvent donc hébergés par le Baron Tellian, alors quei la majorité des Sothõï ont des difficultés à accepter un Hradani et doutent de sa qualité de Champion de Tomanãk, comme d'ailleurs de celle de Kaeritha, une femme Champion, pensez donc !

Pendant ce temps les dieux des ténèbres ont des vue sur le royaume, une étape importante dans leur projet d'asservissement du monde, leurs pions sont soigneusement placés et profitent sournoisement des antagonismes des uns et des autres afin de faire triompher leurs intrigues machiavéliques …





Alors que six ans séparent la rédaction de ce troisième tome du précédent l'auteur a retrouvé le ton caractéristique de la série, même si cette fois l'action est limitée au royaume Sothõï, dont notre connaissance des mœurs va être approfondie. Ce royaume, divisé en quatre Montes, chacune dirigée par un baron essayant d'influencer la politique du roi, qui lui reste assez discret, essayant surtout de maintenir la cohésion de son royaume, si propice aux intrigues politiques, un terrain fertile pour les dieux sombres. Tellian, baron de Balthar et seigneur gouverneur de la Monte Ouest, ami de Bahzell, est un Sothõï progressiste favorisant le rapprochement avec les Hradani honnis, ce qui n'arrange ni les nobles traditionalistes, ni les dieux sombres, il va donc se retrouver en butte à tous les complots, lui, sa famille et ses alliés vont devoir faire face à toutes les manœuvres.

Les ennemis du baron, alliés en connaissance de cause ou pas des dieux sombres, vont tout faire pour affaiblir Tellian, pendant que les créatures des ténèbres multiplient les attaques occultes sur les Sothõï en s'en prenant aux alliés et possessions du baron, en occupant le temple de la déesse tutélaire des vierges guerrières, que Leeana, fille du baron a rejoint, et aussi, chose inenvisageable, en massacrant une harde de fabuleux coursiers.

Habileté, chance et aide divine, tout va être mis en œuvre pour surmonter les épreuves, parfois en les tournant à son avantage.

Il s'agit d'un livre artificiellement divisé en deux parties, aussi ne nous étonnerons pas que cette première partie se contente surtout de mettre en scène les problèmes, qui seront résolus dans la seconde partie …





La série semble s'essouffler un peu, l'auteur reprenant la recette mais avec moins de brio, même si les zombies et les coursiers mettent de l'animation, cependant l'écriture est toujours agréable et nous offre une lecture de délassement honnête …
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Le dieu de la guerre, tome 3 : Cavaliers du..

Troisième tome des aventures de Bazhell Bahnakson après Le serment de l'épée et Le Champion de Tomanak.



Petit rappel des épisodes précédents :

Notre champion Hadrani a fait la connaissance d'une autre championne de Tomanak : Kaeritha Seldandottir. Il a crée un orde de Tomanak, le premier a intégrer des Hadranis. Grâce à ce renfort inespéré, il a pu vaincre les avatars d'un des dieux des Ténèbres : Sharna, au temple Navahkien. Sur sa lancée il a stoppé une invasion Sothoï en s'alliant contre toute attente, et après une résistance héroïque et désespérée à un Sothoï plus "raisonnable" : Le comte Tellian.



Au début du roman, Bazhell est l'hôte de ce comte, avec rang d'ambassadeur afin de trouver un terrain d'entente entre Sothoï et Hadranis. Mais un champion Hadrani et une championne, sont deux particularités difficile à accepter pour les Sothoï rétrogrades, phallocrates et qui vouent une haine millénaire aux Hadranis.

D'autant qu'après Sharna, Krahana et Shigu, deux puissants Dieux des Ténèbres, comptent bien semer la discorde et imposer le règne noir au monde des humains. Et ils ont choisi l'empire Sothoï comme point de départ.



Weber utilise la même trame narrative que dans ces derniers romans de sf : Trois quart de mise en place, de politique, et un dernier quart d'action pure qui ne ferait pas honte à Gemmell.

On retrouve également une particularité déjà expérimentée (entre Honor et Nimitz, pour les intimes) : La fusion homme-animal en faisant connaissance de nouveaux personnages : Les cavaliers du vent.



Un roman pour les habitués de Weber qui ont déjà lu les tomes 1 et 2 de la série.
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Le dieu de la guerre, tome 3 : Cavaliers du..

Salut les Babelionautes

Toujours dans cette Saga de David Weber avec ce tome 3a dans sa version Française.

Cette Saga fait parti des derniers romans de son oeuvre qu'il me restait a lire et après il me faudra attendre d'autres parutions ou relire l'ensemble de sa bibliographie.

Pour l'heure nous allons retrouver Bazhell au sein du Royaume Sothõï, avec ses fabuleux coursiers qui s’unissent a un Cavalier Sothõï, La fusion homme-animal est une constance dans son oeuvre (Honor et Nimitz), dont a plusieurs reprises l'Auteur a fait allusion sans qu'on en apprenne beaucoup sur eux.

La principale mission de Bazhell est de parvenir a une paix négocier entre les Hradani et les Sothõï mais très vite les manigances des forces obscures vont l'obligé a s'impliquer avec les autres membres de l'Ordre de Tomanãk.

Kaeritha quand a elle va prendre sous son aile une future vierges guerrières, Caste d'Amazone ayant réussi a s'imposer au sein du Royaume Sothõï, et qui accueille toutes celles qui en font la demande.

Comme d'en ses autres romans, les complots se succèdent entrecoupées de scènes d'action ou David Weber excelle.

Merci à Frank Reichert, qui c'est chargé de traduire les huit tomes de la version Française, sans son admirable travail je n'aurais jamais pus lire cette Saga.



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Théâtre d'ombres

La vocation narrative des bandes dessinées de Baudoin passe avant la séduction graphique. Ses oeuvres ne semblent pas construites dans leur globalité mais se présentent comme des sortes de vagabondages. Il est notoire que Baudoin ne fait pas de crayonné avant d'encrer ses planches. C'est de la bande dessinée sans filet. C'est plutôt une lente maturation par le jeux des variations de cadrage, d'éclairage et de définition auquel se livre Edmond Baudoin.
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