‒ Comment t'appelles-tu ? demanda-t-il en remettant le bâton sous son bras et en sortant lentement un carnet.
Karl l'observa alors de plus près : c'était un homme vigoureux, mais dont les cheveux étaient déjà presque tout blancs.
‒ Karl Rossmann, dit-il.
‒ Rossmann, répéta le policeman en homme consciencieux et posé.
[Franz KAFKA "Der Verschollene" / "Amerika" (1927), chapitre VII : " UNE VISITE ", traduit de l'allemand par Alexandre Vialatte (1946)]