La nature est capricieuse, songeait Adamsberg, on ne peut pas exiger d’elle que tout soit strictement en place pour le matin du 21, vu la quantité astronomique de bourgeons dont elle a à s’occuper, sans compter les larves, les racines et les germes, qu’on ne voit pas, mais qui doivent certainement lui manger une énergie folle.