Richard Valence avait de l'aversion pour les bibliothéques, parce qu'il fallait s'abstenir de tout, de faire du bruit avec ses chaussures, de faire du bruit avec ses paroles, de fumer ,de remuer, de soupirer, bref de faire du bruit avec sa vie.Il y avait des gens qui disaient que ces contraintes du corps favorisent la pensée.Chez lui, elles la détruisent instantanément.