Les hommes, on est des cons, à espérer l'été et vite à s'en protéger sitôt qu'il est là, pourtant juste de passage. On rewrite le temps, comme dans la presse, on rewrite les papiers ; que tout s'uniformise, se calibre bien, que rien dépasse. Un jour, on comblera les mers et aplatira l'Himalaya, tellement essoufflant à escalader !