J’étais parti les mains vides et je rentre vingt-quatre heures plus tard avec les photos d’un mort, une carte d’identité qui doit être fausse, le souvenir d’un bon moment passé avec une souris, un disque mystérieux qui a, paraît-il, de la valeur et, planté au milieu du crâne, le plus gigantesque point d’interrogation qu’on puisse imaginer.