Attention, je ne suis pas du genre moralisateur. Je comprends même très bien les gens qui me claquent la porte au nez. Honnêtement, je ferais sans doute comme eux. Même si c’est grossier, il y a des jours où ça soulage. Je ne cherche ni le prix Nobel de la Paix ni à me racheter une conscience. En réalité, je tire mes heures de travaux d’intérêt général. Je ne vais pas me mentir, que je collecte vingt-cinq ou deux cents euros, je dors exactement de la même manière. Si j’ai une journée de dèche, ma foi, ce n’est pas la fin de mon monde.