Qui a donc décrété qu’un anniversaire était un événement joyeux ? Je n’y vois, pour ma part, qu’un pas de plus vers la fin, un peu comme si le temps, abandonnant son sablier pour une allégorie plus kitsch, apparaissait sous la défroque du vieil épicier à blouse grise – tellement français – mouillant sur ses lèvres humides et molles l’extrémité d’un crayon en disant « cinq et un qui nous font six ». Pas de quoi entonner l’Hymne à la joie.