Il s’inquiétait aussi du curetage des égouts, où se formaient des bulles de gaz mortel. Il y avait l’organisation des hôpitaux, véritables mouroirs où se préparaient les épidémies. Il devait gérer les prisons, fournir des rapports aux tribunaux où seraient jugés les criminels qu’il avait arrêtés. En plus de tout cela, il était prié de tout savoir sur les Parisiens, de tenir ses carnets à jour, de discerner, du flot de filles de joie et d’escrocs en tout genre, les vrais nobles, les vrais riches, les vraies honnêtes gens, s’il y en avait encore.