Cette longévité était une excellente réclame pour le praticien, dont la survie était naturellement attribuée à sa maîtrise de l’art médical. Cela, et aussi sa connaissance réelle de son domaine, aurait dû lui rapporter une confortable fortune. Pourtant, il était presque dans la misère. Ce n’était pas le genre d’homme capable de s’enrichir. Il vivait dans un monde d’idées et de convictions.